Veste de contention

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il y a 7 ans

Veste de contention

Je n’avais vraiment aucune idée de ce qui allait se passer cette nuit là lorsque je suis descendue à la salle des urgences pour voir si je pouvais retrouver David, mon petit ami actuel. Il était interne en chirurgie et était en ce moment assigné aux urgences. Peut-être pouvais-je l’attraper pendant une de ses pauses. En tant qu’étudiante infirmière, j’avais été de service dans un bloc médical pour la majeure partie de la journée, puis je m’étais ennuyée, lisant dans la bibliothèque. Maintenant je recherchais une petite excitation. David releva la tête de son bureau dans la salle des médecins et sourit quand il me vit.

« Bonjour, Céline. Que fais-tu ici en bas ? »

« Heu, j’ai pensé que si tu n’étais pas occupé, peut-être qu’on pourrait se faire une tasse de café, ou autre chose », répondis-je.

« Laisse-moi juste terminer cette note et alors peut-être que je pourrai me libérer pendant un moment ».

Je restais là admirant le look qu’il avait dans sa blouse chirurgicale. Il était bien proportionné, pas de poids excessif, et comme d’habitude semblait chaleureux et amical. Nous nous étions rencontrés pendant mes astreintes chirurgicales et les rendez-vous qui ont suivi avaient été agréables … et bien remplis sexuellement.

« OK, allons-y. Tout est silencieux. Tu est vraiment superbe dans ton uniforme d’étudiante rayé bleu et blanc avec ce tablier blanc ». Comme nous sortions dans le vestibule central, il demanda, "penses-tu que les choses semblent mieux ici aux urgences ? ».

« L’endroit a l’air propre et un peu plus spacieux », notai-je. David dit, « nous avons nettoyé un grand magasin de toutes les vieilleries et les vieux équipements qu’il contenait, puis mis dedans de nouvelles étagères et maintenant nous pouvons y ranger toutes les choses qui traînaient dans les couloirs. Viens par ici, je vais te montrer ».

Il prit ma main et me mena via une porte à double battant dans le nouveau magasin, puis entre deux linéaires de hauts placards où nous fûmes cachés de la porte. Tournant pour me faire face, il saisit doucement mes épaules et m’attira à lui. Je me lovai étroitement dans ses bras pendant que nos lèvres se réunissaient. J’haletai bientôt pour reprendre mon souffle. « Je me demande pourquoi tu as voulu me montrer cet endroit », dis-je, me lovant encore plus étroitement. J’essayai de le pincer et le mordre sur le cou mais il para le coup et fit un pas en arrière en saisissant mes mains, les renvoyant derrière ma taille où il pût les tenir ensemble avec une seule de ses mains. Avec son autre main, il saisit mes cheveux, tint ma tête, ainsi il pût m’embrasser encore sans crainte d’une morsure sur le cou.

« Maintenant que je t’ai », dit-il, et il entreprit de me lécher en descendant sa langue vers le bas jusqu’au milieu de mon cou. Maintenue partiellement immobilisée de cette manière, je me découvris de plus en plus excitée. Mes seins étaient écrasés contre son buste et je pouvais sentir mes mamelons qui s’agrandissaient et devenaient de plus en plus sensibles. « Céline, tu aimes être tenue ainsi et ne plus rien pouvoir faire, n’est-ce pas ? », observa David. « Oui, cela m’excite vraiment beaucoup et je pense que tu l’es également », lui répondis-je alors que je pouvais sentir l’augmentation de son érection pousser contre ma zone pubienne à travers les habits. « Mais je suis inquiète que quelqu’un vienne et nous trouve ici ». Avec cela il me libéra en me disant, « Tu as raison. Une minute de plus et je crois qu’on n’aurait pas pu s’arrêter. Et comme tu es une petite diablesse, je pense que la seule chose qui pourrait te contrôler est un de ces trucs ici ». Il se dirigeait vers un paquet sur l’armoire à côté de l’endroit où nous nous tenions.

Le paquet était étiqueté « Veste de contention ». Quand je lui demandais ce que c’était, il dit « Céline, une fille futée comme toi devrait pouvoir se figurer que c’est un euphémisme pour une camisole de f o r c e ».

« Vous avez ce genre de choses aux urgences ? Je devine que vous pouvez parfois avoir un patient sauvage », pensa-t-elle tout haut. « Oui, j’ai déjà vu une de ces vestes et me suis toujours demandée ce que cela faisait lorsqu’on était mise là dedans ».

Comme je disais ceci, je me rendis compte que j’exprimai à haute voix un de mes fantasmes. J’avais constaté que quand je pensais à être attachée de cette façon... ou de n’importe quelle autre façon... je devenais rapidement très excitée sexuellement. Je me tins là, la sueur me gagnant, avec les mains froides et mon cœur qui commençait à s’emballer. Dans un panier près du paquet de la camisole il y avait quelques manchettes de contrainte pour les poignets et les chevilles. J’en pris un exemplaire et notai qu’elles étaient en cuir, garni avec de la peau de mouton. Joliment solide, devinai-je. David sourit. Je lui dis, « tu sais, j’ai observé quelques uns de ces artistes d’évasion et j’en ai même vu un qui expliquait comment s’échapper d’une camisole en tirant ses bras hors des manches ».

David dit, « Céline, je pense que tu trouverais cela très difficile. En fait, je pense que tu demanderais à être libérée très rapidement ».

« Je devine que nous ne le saurons vraiment jamais », lui dis-je, « mais ça serait amusant de parier avec toi. Je pense je pourrais en sortir, et même si je ne le pouvais pas, je pourrais tout de même apprécier la chose ». « Bien, si tu es sérieuse, je pense que je connais un moyen de tenir ce pari, intéressant pour moi, et très contraignant pour toi », dit-il. « Viens, descendons à la cafétéria. Nous pourrons prendre du café ».

Quelques minutes plus tard comme nous sirotions nos boissons à une table dans la cantine de l’hôpital qui était pratiquement déserte à ce moment de la soirée, je lui dis, « Oui, je pense que je suis sérieuse ».

« A quel sujet ? », demanda-t-il. « Oh, la camisole. Es-tu sûre ? ». Quand j’inclinai la tête il dit, « OK, laisse-moi passer un coup de fil. Je reviens de suite ». Lorsqu’il revint quelques minutes plus tard il dit, « Céline, tout est en place. Une amie à moi est le superviseur de soins pour la soirée dans l’unité de psychiatrie. Nous nous sommes connus il y a quelques années et j’ai confiance en elle. Son unité a été très silencieuse en raison de certaines transformations aussi après qu’elle ait ri de ma demande, a-t-elle dit qu’elle serait heureuse d’avoir une certaine compagnie pour rompre la monotonie de la soirée ». « On commence maintenant ? », haletai-je en me demandant si j’étais vraiment folle dans mes fantasmes.

« Ouais, assume ou tais-toi, comme ils disent. Viens avec moi, et pendant le trajet tu pourras me dire ce que tu entends par ce pari ». « Je pense que tu dois décider le type de gage si tu perds », dis-je. « OK, si tu n’arrives pas à te libérer ou si tu demandes à être détachée dans les six prochaines heures, tu devras être mon esclave pendant 6 jours, et faire ma cuisine, nettoyer la maison, faire la lessive, etc… », dit-il.

Je répondis, « tu pourrais l’avoir fait pendant huit heures pour toutes les précautions que j’allais prendre pour dormir pendant cette longue nuit. Maintenant si je gagne tu devras être à mon cou et appeler toutes les fois que tu n’es pas en service pendant une semaine. Ceci inclut de m’offrir le restaurant, un booling ou deux, et peut-être quelques autres choses ». Pendant ce temps nous avions atteint la porte verrouillée de la salle de psychiatrie. « Tu es arrivée », dit-il.

« Maintenant c’est le dernier moment pour arrêter le pari si tu le souhaites ».

La porte fut ouverte par une belle femme portant un pantalon noir, une blouse médicale bleue claire avec un col blanc en V. Un sourire apparût sur sa figure bronzée quand elle vit David. « Entre David. Et tu dois être Céline. Je suis Cheryl Barnett. Bienvenus dans mon sanctuaire. Céline, David m’a dit que tu voulais avoir une démonstration personnelle de la camisole de force et que tu pensais être capable de t’en échapper ou au moins de prendre un certain plaisir à en porter une pendant quelques heures. Es-tu sûre de savoir ce que tu veux ? »

« Oui », répondis-je. « Je ne vois pas ce qu’il y a de compliqué et je pense que je peux gagner notre petit pari ».

« OK. David, tu peux retourner travailler pendant que je prépare Céline, ou si tu veux rester, fais-toi oublier. Céline, viens avec moi dans la pièces des casiers des infirmières ». Une fois dans la pièce, elle me trouva un casier vide et dit, « Céline, nous ne voulons pas que ton bel uniforme ne soit froissé, donc enlève tous tes vêtements ainsi que ta montre et tes bijoux. Mets les dans le casier et je vais te récupérer une blouse de patient ». Alors que je me déshabillais, je fis une pause quand j’eus tout retiré sauf mon soutien-gorge et ma culotte. Je pouvais certainement les garder, mais elle m’avait dit « tout ». Je fis un compromis en enlevant le soutien-gorge mais en gardant la culotte.

Pendant ce temps Cheryl était revenue et me présentait une blouse pliée en coton. Je glissai mes bras dans les courtes manches et elle referma les deux côtés de la blouse devant moi où une bande de Velcro maintint la blouse fermée. La partie haute de cette blouse laissait une portion de ma poitrine exposée, la blouse ne descendait que sur le haut de mes cuisses, et la taille serrée accentuait mes formes. J’étais un peu embarrassée de montrer mes seins à Cheryl, et la blouse ne me donnait aucune raison de me relaxer. Son amusement apparent et sa maîtrise de ce qui allait arriver me procuraient un certain malaise.

« Céline, tu es vraiment superbe dans cette blouse, bien que je ne pense pas que le gris soit ta meilleure couleur. Viens avec moi et tu peux prendre ceci ». Elle me présenta un paquet similaire à celui du magasin des urgences. Celui-ci était simplement étiqueté « CAM-F-Sp ». Comme je trottinai pieds nus derrière elle, je lui demandai, « Qu’est-ce que veulent dire ces lettres ? » « Camisole de f o r c e – Femme – Spéciale », répondit-elle, « Spéciale parce c’est un modèle que nous avons conçu nous-même ». A ce moment j’entendis une sonnette. Cheryl me laissa dans le couloir, déverrouilla la porte de l’unité et laissa entrer David. Il était apparemment allé chercher du café et portait un sac de la cafétéria.

« Ouaw, regarde-toi », dit-il. « Ca va devenir intéressant. Où allons-nous nous mettre ? »

Cheryl dit, « nous avons juste terminé de repeindre une aile du bâtiment et elle est déserte. Il y a une pièce spéciale que Céline, je pense, devrait apprécier ». Sur ce, elle alluma quelques lumières qui éclairèrent le couloir. Nous la suivîmes jusqu’à ce qu’elle atteigne une autre porte verrouillée qui avait une petite fenêtre. Elle choisit une clef sur son trousseau, déverrouilla la porte et entra dans la pièce pour permettre à David et moi-même d’y entrer également. La pièce n’avait pas de fenêtre ni d’autre porte. Les murs étaient capitonnés avec une sorte de matière molle, les lampes au plafond étaient situées derrière des vitres, et le sol était recouvert par une sorte de caoutchouc. Il n’y avait ni meuble, ni objet. « Bienvenue dans ta cellule », me dit-elle.

Je restai là sans voix alors que je prenais la mesure de la situation. « Céline, tu peux encore décider de tout arrêter si tu le désires », mais je tournai ma tête. « Très bien, montre-nous ta nouvelle veste ».

J’ouvris le paquet et sortis la chose. Il y avait un tas de lanières attachées à ce matériel de poids moyen mais qui semblait robuste. Mon cœur commençait à s’emballer un peu lorsqu’elle me prit la camisole et la tint dépliée devant moi, attendant que j’y insère mes bras. Je flirtai avec l’idée de tout arrêter maintenant, mais je savais que je voulais pousser l’expérience présente jusqu’au bout. Aussi j’y glissai mes mains et mes bras. Je m’aperçus que mes mains n’atteignaient pas le bout des manches qui étaient terminées par de longues lanières. Elle me retourna et boucla deux des lanières de dos sans les serrer.

Alors qu’elle retirait sa veste d’infirmière, elle m’ordonna de me mettre à genoux toujours mon dos tourné vers elle. « D’habitude nos patients ne sont pas aussi obéissants que toi et nous devons les maintenir sur le sol ». (L’idée me vint qu’elle était certainement capable de faire cela). Je fus alors poussée en avant sur mon estomac et la sentis s’asseoir sur ma croupe. « David, tu peux tenir ses poignets ou les lanières des manches pendant que je commence à la boucler ». La camisole atteignait juste le niveau de mon pubis et je pouvais la sentir me caresser douillettement pendant que Cheryl passait apparemment les lacets dans les trous des parties arrières qui se superposaient. Bientôt elle eut atteint mon cou où la veste se terminait et où la plus haute courroie arrière était attachée.

Ceci étant fait, elle tira fortement sur les lacets et les boucla. La lanière suivante était juste au-dessus de mes seins et une fois attachée à elle, tirait un peu mes épaules en arrière. Puis vinrent les courroies de taille et celle du dessous. Ca ne semblait toujours pas très serré mais Cheryl commença alors à tirer les lacets plus étroitement après quoi elle alla travailler sur les lanières, les tirant avec un effort considérable.

« David, j’aurai voulu te laisser le plaisir de faire ça, mais tu aurais probablement pris avantage de la situation ». Elle saisit mes épaules et me remonta sur mes genoux. Avançant ses mains autour de moi, elle prit alors les lanières des manches que tenait David et les tira en arrière de chaque côté, après quoi elle me repoussa rudement en avant sur le plancher en caoutchouc. « David, tiens une lanière tandis que je passe l’autre lanière dans l’anneau qui est dans le dos... une de mes améliorations spéciales. Cela l’empêche de pouvoir glisser la lanière vers le haut ou vers le bas. Voila. C’est fait, passe l’autre lanière dans l’anneau de ton côté et nous allons maintenant attacher les lanières ensemble, les tirant aussi fortement que possible. Aucun moyen maintenant pour elle de s’échapper, et pour en être absolument sûrs, nous attacherons juste cette dernière lanière. Bien, maintenant Céline, je vois que tu as gardé ta petite culotte en dépit du fait que je t’ai dit d’enlever tous tes vêtements ».

Je sentis sa main monter entre le haut de mes cuisses, attraper et tirer ma culotte vers le bas. Elle saisit alors une lanière descendant de l’avant de la veste. Alors qu’elle la tirait vers l’arrière, la lanière trouva son chemin entre mes fesses et couvrit mon vagin et mon anus. Avec une traction subite la lanière fut bouclée dans le dos de la veste. J’étais maintenant allongée prostrée, m’étreignant. J’étais devenue progressivement plus excitée, particulièrement quand elle s’était assise sur moi, ses cuisses s’enfonçant sur chacune de mes hanches. La lanière d’entre-jambe ajouta à cet éveil de mes sens. Je fus maintenant roulée sur le dos et soulevée dans une position assise. David, se mettant à genoux devant moi, me regarda et rit, « Céline, tu devrais vraiment te voir. Quelle image ».

En réponse j’essayai de lui donner un coup de pied mais il l’évita facilement.

« J’ai pensé que tu pourrais tenter quelque chose comme ça aussi je t’ai apporté un petit présent ». Il alla vers le sac de la cafétéria qu’il avait précédemment amené, et en sortit deux des manchettes en cuir gainées de peau de mouton qu’il s’employa à boucler autour de mes chevilles. Cheryl saisit mes genoux pendant que je luttais et voyais David passer une courte courroie par les anneaux des manchettes. Quand la courroie fut bouclée il n’y avait qu’environ dix centimètres entre mes chevilles.

« David, ce n’est pas loyal, salaud ». Evidemment ceci allait rendre ma libération bien plus difficile que je l’avais imaginée notamment pour me lever afin de pouvoir bouger plus facilement mes bras.

A ce moment, son bippeur sonna et il indiqua qu’il avait un appel des urgences. Cheryl dit, « Avant que tu ne laisses cette demoiselle en détresse, laisse-moi t’expliquer qu’il est maintenant 10h30 et mon infirmière de nuit va prendre son service sous peu. Son nom est Amy et je peux lui faire confiance. Je vais lui dire que tu viendras probablement rendre une petite visite à Céline. J’ai beaucoup apprécié ceci, et j’espère que je pourrai en apprendre un peu plus sur elle et je souhaite seulement rester un peu plus longtemps avec elle ce soir. Mais je suis sûre que Amy prendra bien soin d’elle. Quand elle demandera à être libérée, où veux-tu qu’elle aille ? » « Elle peut utiliser une des salles de repos des infirmières en chirurgie qu’elle connaît déjà, ou elle peut retourner à la maison. Je vais essayer de revenir ici dans une ou deux heures mais elle sera probablement déjà partie d’ici là, ne crois-tu pas ? », dit-il en se tournant vers moi et me poussant sur le dos. Il s’approcha rapidement, me donna un grand baiser, et dit, « Amuse-toi bien ». Là-dessus il partit.

« Céline, je vais te laisser pour aller m’occuper de mes patients et faire mon rapport. Amy sera là dans un moment. Je vais monter un peu le chauffage pour être sûre que tu auras assez chaud. Comme David te l’a suggéré, amuse-toi bien ».

« Cheryl, avant que tu ne partes, voudrais-tu me gratter le nez et me dire comment je te ferai savoir quand je voudrai sortir ? »

« Si tu penses pouvoir t’échapper, tu pourras te gratter toi-même ton nez. Au revoir », dit-elle en fermant la porte, la verrouillant derrière elle.

D’abord j’essayai de m’asseoir et m’aperçus que je pouvais le faire bien que je ne puisse pas utiliser mes bras ou séparer mes chevilles. Ensuite, je commençai à tirer mon bras droit hors de sa manche et fus encouragée en constatant que je pouvais le bouger de deux ou trois centimètres. Je m’assis là, essayant l’abord un bras, puis ensuite le second. Il se passa peut-être environ trois minutes avant que je réalise que je ne faisais vraiment aucun progrès. Soit, peut-être que je pouvais soulever mes bras et tirer la camisole vers le haut au-dessus de ma tête. Mais ceci servit seulement à serrer un peu plus la lanière d’entre-jambe. Je savais que j’avais simplement à faire en sorte de libérer une main puis de la pousser hors de la camisole par le bas du dos de celle-ci. Ceci me permettrait d’ouvrir la lanière d’entre-jambe. Pensant que je pourrais y arriver plus facilement à genoux, j’essayai de balancer mes jambes sur le côté pour me pencher vers l’avant mais cela ne fonctionna pas me fit tomber simplement sur le côté.

À présent je commençais à suer de tous ces efforts et du fait que Cheryl avait augmenté considérablement la température ambiante. Je m’aperçus que je ne pourrais pas aller de la position allongée sur le ventre à la position à genoux, mais peut-être que je pouvais me lever si je pouvais m’appuyer contre le mur. Alors je commençai à rouler sur le sol. Quand j’eus atteint le mur, je me suis assise et ai poussé contre le mur petit à petit vers le haut jusqu’à ce que je sois debout. Maintenant je commençai réellement à tirer et me tordre dans tous les sens, essayant de desserrer la camisole.

« La salope. Elle n’avait pas à tirer ces lanières si serrées », pensai-je. Peut-être avais-je accompli quelques progrès avec ma série suivante de tractions mais soudainement je tombai en avant et, incapable de faire un pas en raison de la courroie de cheville, je tombai sur mes genoux puis à plat ventre sur le sol, f o r ç a n t mes bras dans le haut de mon abdomen. C’était comme une manoeuvre dite « de Heimlich », utilisée sur une personne pour déloger quelque chose obstruant sa trachée. Des jus de mon estomac furent propulsés vers le haut dans mon arrière-gorge.

Dans les minutes qui suivirent, je m’étendis simplement là. Je suais considérablement et mon nez me démangeait toujours, mais lentement ma frustration gagnait du terrain vers une sensation agréable. Je ne pouvais pas utiliser mes bras, mes chevilles étaient attachées ensemble et la courroie d’entre-jambe me faisait vouloir quelque chose de plus de ce côté là. Déplacer mes bras attachés vers le haut et vers le bas accroissait cette sensation. Je me retournai sur mon dos et écartai mes genoux. Mes tétons étaient durs contre le matériau de la camisole et mes jus coulaient pendant que je devenais de plus en excitée. Soudain j’entendis une clef dans la serrure. La porte s’ouvrit et une femme blonde très jolie, de ma taille, entra portant un verre d’eau et une serviette. Elle était habillée d’un costume vert avec une ceinture large en cuir.

« Salut Céline. Je suis Amy, ton infirmière de nuit. Je vois que tu n’es pas encore sortie de cette chose. Es-tu prête à être libérée ? », demanda-t-elle.

« Non, pas tout à fait. Peut-être que si tu desserrais simplement un petit peu les lanières ? »

« Céline, cela serait de la triche et je pourrais avoir des ennuis avec Cheryl. En outre, vu les étincelles dans tes yeux, tu me sembles apprécier ce défi ». Elle se mit à genoux près de moi et m’aida à m’asseoir. Avec un bras autour de mes épaules elle utilisa la serviette pour essuyer la sueur qui coulait sur mon visage et mes cuisses. Puis elle m’offrit un grand verre d’eau qu’elle avait apporté, une offre que j’acceptai avec reconnaissance.

« Cheryl a-t-elle été gentille avec toi ? », demanda-t-elle.

« En quelque sorte oui. Elle a semblé accueillante et amicale, mais plutôt dominatrice. Et elle est certainement forte. Ces lanières sont très serrées. Elle m’a indiqué que vous étiez de bonnes amies », répondis-je.

« Oui et elle est un des membres principaux d’un club duquel je suis membre. Comme toi, elle a été celle qui m’a initiée à la camisole. Naturellement, je la connaissais mieux que toi et elle n’a pas été aussi agréable avec moi lors de cette initiation ». Je demandais, « qu’est-ce qu’elle t’as fait ? »

« Après m’avoir enfermée dans la camisole et attaché les lanières, elle a enroulé du sparadrap autour de mes chevilles et de mes cuisses, puis elle m’a non seulement bâillonnée mais également enveloppé ma tête dans du bandage ».

« C’est terrible », dis-je.

« Non, j’ai plutôt apprécié après réflexion. Je devins très excitée et je sens, en ce qui te concerne, que tu ne trouves pas ça trop mal non plus. Cheryl m’a dit que toi et moi avions beaucoup de choses en commun. Aimes-tu mes boucles d’oreille ? »

« Oui, bien que j’étais si excitée, je n’y ai pas vraiment fait attention ». Amy dit, « Ce sont des boucles simples, large d’un centimètre dont une deuxième paire se balance sur mes seins. La chose intéressante au sujet de ces boucles d’oreilles est qu’elles sont pleines et ne peuvent pas être retirées. Elles sont un symbole d’une partie de ses possessions. Tu aimerais certainement savoir qu’elle m’a demandé d’avoir mes tétons percés ». « Je ne le crois pas ! », m’exclamai-je.

« Eh bien regarde ». Avec cela elle ouvrit la fermeture éclair à l’avant de son costume et le dégagea de ses épaules. Elle ne portait pas de soutien-gorge et ses deux seins de bonne taille furent poussés hors de sa veste. Elle ne portait pas ses boucles en ce moment, mais tirant un téton vers le côté, elle me montra le trou minuscule. « Je porte les boucles seulement aux occasions spéciales et les auraient portées ce soir si j’avais su que tu serais ici. Juge comme mes tétons sont durs juste en les touchant à peine ». Je ris et dis, « Désolé mais j’ai les mains plutôt occupées en ce moment ». « Oui, certainement mais… » Elle se pencha en avant et frotta son téton ferme et contre ma joue. Je rougis et me sentis devenir de nouveau très excitée. Amy dégagea alors mes cheveux de mon visage et mit un doigt sur mes lèvres, mais ensuite referma la fermeture éclair de son costume et se leva, se préparant à partir. J’étais déçue mais, je pense, soulagée. « Avant que je te laisse, je pense que je vais aller juste faire quelque chose pour améliorer ton aspect ». Elle quitta la pièce quelques minutes et quand elle revint, elle a avait un sèche-cheveux électrique et un rasoir dans sa main. « Tes poils pubiens collent de chaque côté hors de la courroie d’entre-jambe et ça n’est pas très joli ». « Non, attends une minute… », dis-je. Mais elle me poussa simplement à plat ventre et entreprit de raser tous les poils saillants. Les vibrations m’excitèrent de nouveau. Tout ce à quoi je pouvais penser était à un godemiché vibrant. Alors elle essuya les poils coupés et souffla doucement sur moi.

« Céline, je dois aller contrôler mes quelques patients. Je vais essayer de revenir d’ici un moment. En attendant tu peux recommencer à lutter pour te libérer... ou t’étendre juste là et apprécier les sensations d’être complètement impuissante ».

Après qu’elle soit partie, verrouillant la porte, je restai allongée juste là, pensant à tout ce qu’elle m’avait dit. Qu’est-ce cela ferait d’être attachée encore plus que je ne l’étais actuellement ? Je fermai mes yeux et laissai mon imagination débridée courir pendant quelques instants. J’ai même dû m’endormir un moment car la chose suivante dont je me souviens était David qui me secouait pour me réveiller.

« Est-ce que je suis un intrus dans tes pensées ? », demanda-t-il en s’asseyant près de moi. « Est-ce que ça va ? Je t’ai apporté du coca-cola ».

« Ca va. Bien que je ne sois pas encore arrivée à me libérer, je pense que tu vas tout de même perdre le pari. Et oui, j’aimerai bien un peu de coca-cola ». Il entreprit de me rouler sur le côté et mit la paille dans ma bouche. Le coca-cola avait bon goût mais une partie déborda en bas de ma joue. Il utilisa la serviette qu’Amy avait laissée pour m’essuyer et caressa mon visage avec sa main. « Hmm”, dis-je, « c’est agréable ».

Bientôt nous nous embrassâmes, nos bouches et nos langues se cherchant. Sa main serra un de mes seins à travers la camisole rugueuse et puis glissa vers le bas en direction d’une cuisse nue. Il me laissa me rouler sur mon dos et travailla sa main entre mes cuisses. « Plus haut s’il-te-plait », dis-je, écartant mes genoux. Quelques secondes plus tard je sentis que son doigt était sous la courroie et qu’il jouait avec mon clitoris, ce qui lui amena un « S’il-te-plait » plus insistant de ma part.

Avec cela il me retourna sur le ventre, défit la courroie d’entre-jambe et me poussa peu rudement sur le dos.

Rapidement il se mit à genoux entre mes cuisses, attrapa mon dos et souleva mes chevilles attachées ainsi il pouvait mettre ses pieds entre les miens et le sol. Je regardai vers le bas et observait ses préparatifs pendant qu’il faisait descendre son pantalon et dévoilait son pénis très droit. Je sentais mes jus vraiment commencer à couler. Je fléchis mes cuisses et haletai pendant qu’il s’abaissait très lentement jusqu’à ce que son pénis ait touché mon orifice vaginal. Il descendit alors ses mains derrière mes fesses. Il me souleva un petit peu et me bascula d’un côté à l’autre. À ce moment-là je souhaitais cela plus que tout et je ne m’inquiétai pas du fait qu’il n’utilisait pas de préservatif. Avec une lente poussée il fut à l’intérieur de moi et nous dansâmes de plus en plus haut, ses mains et sa bouche partout sur mon corps. Il a peut-être atteint l’orgasme avant moi mais pas de beaucoup. J’étais presque au délire avec mon plaisir et sentais que la camisole ajoutait à ce plaisir.

« Es-tu OK ? », me demanda-t-il. « Désolé, j’ai profité de ta position. Veux-tu être libérée maintenant ? »

« Non, pas vraiment. David, j’apprécie ceci, et particulièrement les dernières minutes aussi tu peux t’attendre à perdre notre pari. Laisse-moi juste une minute ». Mais son bippeur sonna de nouveau. Il me donna un long baiser et partit rapidement.

Je m’étendis là pendant quelques instants appréciant mes récentes sensations. Puis je réalisai qu’il avait laissé la courroie d’entre-jambe débouclée.

Rapidement je me rassis et commençai à soulever et tordre mes bras. Le fait d’être en sueur m’aidait également. Je parvins à retirer ma main de quinze bons centimètres mais je notai que je n’arrivais pas à déplacer du tout mon épaule hors de l’ouverture de la manche. Et la lanière de taille était si serrée que je ne pouvais toujours pas remonter la camisole vers ma tête. J’étais juste assise là commençant à réaliser à quel point ma vessie était pleine lorsque Amy revint.

« Coucou Céline, David et toi vous vous êtes bien amusés ? Et les mecs, il fait vachement chaud ici. Tu es encore complètement en sueur. Comment cette courroie d’entre-jambe s’est-elle débouclée... comme si je ne le savais pas. Ouais, en voyant tout ce tissu poisseux je suis sûre que vous vous êtes bien amusés ». Elle me poussa sur mon dos et commença à m’essuyer avec la serviette. Ceci inclut le haut de mes cuisses et mon entre-jambe. Elle n’avait aucune tentative d’être conciliante. « Amy, ma vessie est plutôt pleine d’eau, de café et de coka-cola. Est-ce que je peux aller aux WC ? »

« Je devine que la récente stimulation locale n’a pas amélioré cette sensation, n’est-ce pas ? Eh non, tu ne peux pas aller aux WC, mais je vais t’apporter un récipient de lit... à moins que tu préfères une couche-culotte ? »

« Le récipient de lit semble être le meilleur choix, si je peux le contrôler ». Amy partit, laissant la porte ouverte, mais avant que je n’arrive à me lever sur mes pieds attachés elle était de retour avec le récipient de lit qu’elle plaça sur le sol près de moi. Elle me mit en position assise et, avec quelque effort, me glissa au dessus. Puis elle se mit à genoux devant moi et dit, « OK, tu ferais mieux de bien viser dans le récipient, sinon je vais te faire lécher le sol. Vas-y, pisse ou je vais chercher la couche-culotte. » Malgré mon embarras de l’avoir en face de moi en train de m’observer opérer, je réussis à ne rien mettre à côté.

Elle me porta hors du récipient et utilisa la serviette pour m’essuyer un peu. « Là, sens-toi », dit-elle en tenant la serviette devant mon visage. Je ne pus qu’inhaler les odeurs de sueur, d’urine, de mes jus et, je devine, du sperme de David. Amy rit alors que je me tordais le cou pour écarter ma tête loin de la serviette. Elle me poussa ensuite et me roula sur le ventre, puis reboucla confortablement la courroie d’entre-jambe. « Rien d’autre que je puisse faire pour toi ? »

« Amy, qu’est-ce qu’on ressent lorsqu’on est attachée, bâillonnée et aveuglée dans une camisole ? J’aimerai bien le savoir ».

« Céline, la curiosité a tué le chat. Je t’aime bien, j’admire ton audace, et donc je vais te laisser trouver toute seule ».

« Non, je veux juste que tu me dises par quoi tu es passée... » mais mes mots se perdirent dans l’air alors qu’elle quittait la pièce, cette fois en verrouillant la porte. Elle s’absenta quelques minutes et ne dit rien lorsqu’elle revint avec plusieurs choses. Rapidement, avant que je ne puisse protester un peu plus, elle f o r ç a une chose en caoutchouc en forme de poire dans ma bouche. C’était attaché à une large courroie qu’elle boucla derrière ma tête et mon cou. J’essayai de demander où elle avait eu ceci mais les mots étaient très étouffés. Puis elle continua avec un rouleau de bandage large de dix centimètres, l’enroulant autour de ma tête encore et encore. Je pense qu’elle utilisa même un deuxième rouleau et puis le maintint en place avec du sparadrap. Mes protestations étaient maintenant bien plus étouffées mais je pourrais encore entendre sa voix quand elle me dit, « He, ma petite maligne, je t’ai apporté un collier en cuir intéressant à porter ».

Je le sentis autour de mon cou et compris qu’elle l’avait attaché avec un cadenas. Ensuite je sentis le large ruban adhésif s’enrouler autour de mes cuisses, puis juste au-dessous des genoux et finalement sur mes chevilles juste au-dessus des manchettes.

« Tu n’es plus un animal sauvage maintenant, n’est-ce pas Céline ? Mais juste pour être sûre... » Je fus roulée sur le ventre et la sentis passer le bout d’une courroie entre mes jambes et ensuite entre mes chevilles, encerclant le ruban adhésif. Elle doit l’avoir alors attachée car elle commença à ramener mes pieds vers le haut contre mes fesses. Je pouvais la sentir tâtonnant autour de la lanière supérieure de la veste et ensuite tirant mes pieds encore plus hauts, f o r ç a n t mon dos dans une cambrure serrée. « Non, s’il-te plait, pas ça », essayai-je de lui dire à travers mon bâillon.

« Voilà, Céline. C’est ainsi que je me suis sentie. Apprécie-le et je serai de retour dans un moment ». Maintenant j’étais quasiment complètement impuissante. Je pouvais encore bouger ma tête, mes doigts et mes orteils. Mais c’était tout. J’étais tombée sur le côté et je trouvais qu’il m’était impossible de rouler. Bien qu’il ne me fallut pas longtemps avant que mon dos ne me fasse mal, je constatais encore qu’être maintenue étroitement pendant que quelqu’un jouait avec moi, me rendait très excitée. La douleur et le plaisir combattirent pour le contrôle de mon esprit, mais je me rendis compte que le contrôle était vraiment entre les mains d’Amy. Heureusement, elle revint assez vite mais son action suivante fut de commencer à me chatouiller la plante des pieds avec ce que je sentis comme étant une plume. Je riais, pleurais, gémissais et devins progressivement de plus en plus folle. Finalement je ne puis plus tenir plus longtemps. Je commençais à paniquer. Il me sembla comme si je ne pouvais pas avoir une pleine aspiration normale. Je luttais aussi dur que possible contre la camisole, les courroies et les adhésifs qui me maintenaient.

« Du calme, du calme Céline. Ne fais pas d’hyperventilation. Veux-tu être libérée ? »

J’inclinais rapidement de la tête et essayai de dire « s’il-te plaît ».

Amy desserra la courroie de mes chevilles et puis coupa la bande sur mes cuisses et mes jambes. Puis elle déroula ma tête et enleva le bâillon. « Merci, Amy. Pour cette bonne leçon que tu m’as donnée ». Je fus un peu surprise quand elle commença à déboucler les lanières de la camisole. « Non, la camisole c’est OK ». « Céline, tu as dit que tu voulais être libérée, aussi la camisole doit être également retirée et tu perds ton pari ».

« Bien, je commençais à être un peu fatiguée et ne pensais pas réellement perdre l’esprit », dis-je alors qu’elle finissait de me déboucler. Ma veste était complètement humide avec la sueur et mes tétons étaient clairement visibles à travers le fin tissu. A ce moment, Amy avait laissé les manchettes de cheville et mon collier en cuir en place. « Que fait-on pour ceci ? », demandais-je. « Oh, tu peux retirer les manchettes toi-même mais je dois juste laisser le collier verrouillé sur toi pendant 24 heures ».

« Amy, tu ne peux pas faire ça ! Comment est-ce que je l’expliquerai ? » Sachant que les clés étaient dans sa poche, je la saisis et la poussais sur le sol. La soudaineté de l’attaque l’étonna, mais avec mes chevilles encore attachées ensemble, elle eut un avantage définitif. Bientôt elle eut le dessus, s’asseyant sur moi. Elle tint chacun de mes poignets contre le sol avec une de ses mains, et avec l’autre, elle commença à chatouiller mes côtés et mon cou. Je ne pus qu’éclater de rire et gigoter. « OK, OK, tu as gagné… », lui dis-je. Elle s’arrêta, se pencha en avant et m’embrassa tandis que sa main libre caressait doucement un de mes seins. Je me surpris lui renvoyant le baiser. Alors Amy sortit ses clefs et retira le collier. « On aurait pu trouver un de ces colliers chirurgicaux pour couvrir celui-ci mais tu as eu assez d’émotions pour aujourd’hui. Viens avec moi à la salle de repos. Tu pourras prendre une douche et récupérer tes vêtements ».

Alors que nous marchions dans le couloir, je dis : « Tu sais j’aurais pu te f o r c e r à m’enlever ce collier simplement en menaçant de révéler ce que toi et Cheryl m’avaient fait cette nuit ».

Sa réponse fut ; « Non, tu n’aurais pas fait ça car nous avons maintenant une très intéressante vidéo sur tout ce qui peut arriver dans une cellule de contention. Nous avons un excellent système de surveillance pour assurer la sécurité de nos patients, et Cheryl a installé un appareil d’enregistrement continu ». Lorsqu’elle vit le regard de consternation sur mon visage, elle ajouta : « Mais ne sois pas inquiète, Cheryl et moi allons probablement détruire la bande dans un jour ou deux ».

« Vraiment ? Amy, tu sais que j’ai beaucoup apprécié tout cet épisode ». Pendant ce temps où nous avions atteint le salon et elle me montra où étaient la douche et les serviettes. Quelques minutes plus tard j’avais éliminé toute ma seconde peau de sueur et laissais l’eau chaude tomber en cascade sur ma tête et mon corps. Mes tétons semblaient toujours sensibles et quand je me séchais, je ris en voyant la drôle de configuration de mes poils pubiens. Après m’être habillée, je rejoignis Amy au bureau des infirmières.

« He, tu es vraiment belle dans ton petit uniforme, Céline. Je dois te dire que tu as montré beaucoup de cran et de courage pour subir tout cela. Et je pense que tu as apprécié d’être rendue plutôt impuissante ».

Quelque peu hésitante, je répondis : « Oui et un de ces jours je recommencerai. J’imagine que je suis plutôt bizarre ».

« Non, tu n’es pas bizarre. Je suis un peu comme toi dans ta soumission bien que je puisse être aussi dominante. Cheryl et moi avons quelques amis qui aiment jouer à des "jeux", tu vois ce que je veux dire. J’aimerai que tu y penses un peu de ton côté et que tu voies si tu veux m’appeler un de ces jours. Voici mon numéro de téléphone personnel ou tu peux m’appeler ici la plupart des nuits après 23h00. Je sens que tu pourrais être une excellente candidate pour rejoindre notre club. Maintenant je vais te laisser quitter le service et tu peux rentrer à la maison rêver d’être étroitement ligotée dans une camisole ».

« Amy, merci… et remercie Cheryl pour moi. Je vais réfléchir à ce que tu m’as dit. En fait, mon imagination ne me laissera probablement pas tranquille pendant un certain temps ».

FIN...

Sylvain

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